Les contes de El Hadji Leeboon : quand l’imaginaire enseigne la vie

Les contes d’El Hadji Leeboon est un texte qu’il faudrait avoir à son chevet peu importe l’âge. L’on apprend tous les jours, ne le dit-on pas ? Cette œuvre donne la possibilité à tout un chacun de mieux comprendre cette école que l’on appelle la vie.

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Jouer avec des mots : Je m’appelle Fatou

Je m’appelle Fatou, un titre à la fois attrayant et mystérieux, remplit le lecteur d’excitation à l’idée de se plonger dans un nouvel univers imaginaire, mais aussi un pan de mystère est maintenu au niveau du contenu de l’histoire.

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Le devoir de mémoire : Pacotille, l’enfant esclave

Pacotille, l’enfant esclave, un titre révélateur qui situe d’ores et déjà le lecteur dans une période précise : celle de l’esclavage. De prime à bord, le récit semble relater l’histoire d’un enfant qui a été privé de sa liberté et même de son humanité. Il importe aussi de signaler un doute qui plane sur la réalité qui est associée au substantif Pacotille. Des interrogations surgissent à ce sujet dans l’esprit du lecteur : la pacotille dont il est question, fait-il référence à un objet ou alors au protagoniste principal du livre ?

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La contribution de la bd à la culture de la paix

Si l’on admet que l’homme est un animal politique au sens d' Aristote, la cohabitation avec son alter ego n’est pas toujours aussi paisible qu’on peut le penser. Car, les incompréhensions, les idées divergentes, et même les malentendus peuvent déboucher sur des conflits susceptibles de mettre à mal la cohésion sociale et la paix. Face à une telle situation, le recours à la force semble être la voie qui prône le plus, faute d’arguments ou d’esprit critique. Or, à l’échelle internationale, l’heure est à la promotion de la paix. Pour ce faire, la culture s’avère être l’un des moyens de pacification le plus sûr. Ernesto Ottone Ramirez partage le même avis lorsqu’il reconnaît que « la culture est un facteur essentiel de résilience, de réconciliation et de cohésion sociale pour les villes et leurs habitants ». Dans ce cas, le  livre, en tant que manifestation de la culture et objet culturel, serait doté de ce grand pouvoir.

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Il fait nuit depuis deux jours ou un quotidien chamboulé

Valser avec la mort résumerait le mieux la création artistique de l’autrice Béatrice Lalinon Gbado, et de l’illustrateur Roger Boni Yaratchaou.  Paru aux éditions Ruisseaux d’Afrique en 2019, ce livre de jeunesse a été sacré pour l’édition 2018,  3ème prix Hervé Gigot pour le livre jeunesse d’Afrique. Il fait nuit depuis deux jours, une titraille captivante qui suscite des interrogations, alimente une envie profonde de percer le mystère qui entoure ce livre. Plongeons nous y dès à présent.

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